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Avis de publication sur la collaboration avec les partenaires universitaires en Israël

Le Conseil d’Administration a demandé au Comité Consultatif sur les Collaborations de préparer un rapport consultatif sur les partenariats de l’Université de Tilburg avec des universités israéliennes dans le contexte du conflit avec Gaza. Sur la base de ces constatations, le Comité Consultatif conclut que l’Université de Tilburg, en tant qu’acteur moral, ne peut rester passive et doit agir. Le Comité traduit ce jugement moral dans la perspective d’action suivante : le Comité Consultatif conseille à l’Université de Tilburg de suspendre, dans les cadres juridique et administratif, les activités collaboratives sous enquête.

Multilatéralisme sous attaque : quel sera le coût humain et politique des tentatives pour démanteler l’UNRWA?

En accord avec l’actuel séminaire thématique de l’École de sciences sociales [de l’Institute for Advanced Study], intitulé « La politique de migration et de déplacement comme forme de vie », l’École de sciences sociales a accueilli Philippe Lazzarini, Commissaire général de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East, UNRWA), l’agence des Nations Unies créée pour fournir une assistance humanitaire et des services de développement humain aux réfugiés de Palestine au Proche-Orient.

« Nous leur donnons 48 heures pour partir » : les plans d’Israël pour transférer les Gazaouis remontent à 60 ans

Dans les années 1960 et 1970, les gouvernements israéliens de gauche ont proposé des plans pour « éclaircir » la population de la Bande de Gaza. Un examen des comptes rendus de leurs réunions révèle que leurs idées ne diffèrent pas beaucoup de celles du gouvernement d’extrême-droite actuel.

Tentative pour épuiser un silence parisien : chronique du Prix Femina Étranger

Ce récit d’Alia Trabucco Zerán de la cérémonie de remise de son prix Femina à Paris fait entendre la dissonance qu’introduit soudain son bref discours de remerciement, et le silence pesant qui s’ensuit : « Un mot qui n’a pas besoin d’interprète tend le silence entre les langues jusqu’à le faire grincer. “Palestine” est ce mot et palestinienne est l’origine de mon nom. »

Une imposante base de données de preuves compilées par un historien, documente les crimes de guerre d’Israël à Gaza

Une femme avec un enfant est touchée par balle alors qu’elle agitait un drapeau blanc/ Des filles affamées sont écrasées à mort en faisant la queue pour du pain/ Un homme de 62 ans menotté se fait écraser, par un tank, de toute évidence/ Une frappe aérienne vise des gens qui essaient de porter secours à un garçon blessé/ Une base de données de milliers de vidéos, photos, témoignages, de rapports et de documents d’enquête sur les horreurs commises par Israël à Gaza.

Porter témoignage de la guerre Israël-Gaza

Ce document a été écrit en raison d’un sentiment profond de responsabilité et d’engagement face à la crise humanitaire et politique actuelle à Gaza. Moi, Lee Mordechai, historien travaillant dans une université israélienne et citoyen israélien, je l’ai écrit en m’appuyant sur mon expertise professionnelle et  sur mon obligation morale à examiner et à documenter les événements en cours. Sur la base de mon expérience à mener des recherches rigoureuses et une analyse critique, j’ai entrepris ce travail à la fois en tant que citoyen poussé à répondre aux actions de son gouvernement et en tant qu’universitaire déterminé à soutenir les droits humains et les principes éthiques.