Israël : Les détenus subissent un traitement inhumain
Des photos dégradantes circulent ; actes qui constituent des crimes de guerre
Des photos dégradantes circulent ; actes qui constituent des crimes de guerre
Enterrés sous des décombres, perdus dans le chaos, décomposés au point d’être méconnaissables : la lutte désespérée pour retrouver des milliers de disparus pendant que la guerre menée par Israël continue.
Des centaines de personnes ont également été blessées lors de l’assaut de certaines parties de Khan Younis, y compris la zone désignée comme zone humanitaire par les FDI.
Le gouvernement israélien a longtemps insisté sur le fait qu’il n’y avait pas de Palestine dont il pouvait occuper les terres et que les territoires étaient « contestés ». La Cour a rejeté ce point de vue.
Ce jugement défie des alliés tels que le Royaume Uni et les USA qui, depuis des années, mettent la pédale douce sur l’occupation des territoires palestiniens.
La CIJ avait été saisie par l’Assemblée générale de l’ONU en décembre 2022. Les juges ont déclaré « illicite » l’occupation israélienne et ont rappelé le « droit à l’autodétermination » sans condition des Palestiniens.
L’ONG Oxfam accuse Israël d’utiliser l’eau comme une arme de guerre à Gaza, avec des coupures d’approvisionnement, du pompage et de la destruction des usines de retraitement. En conséquence, la polio menace désormais la population de l’enclave, le virus ayant été découvert vendredi 19 juillet dans des échantillons d’eaux usées par le ministère de la Santé local et l’Unicef. Une nouvelle inquiétante, car la maladie se propage très vite et représente un vrai danger pour les camps surpeuplés.
Les défenseurs des droits humains disent que même Martin Luther King et le Mahatma Gandhi n’auraient pas été reconnus objecteurs de conscience sur la base de la définition du terme par l’armée israélienne.
Les réfugiés palestiniens sont exclus de la Convention sur les réfugiés pour préserver leur droit au retour, avec l’UNRWA assurant leur protection. En Suisse, ils se voient souvent refuser le statut de réfugié et doivent demander l’apatridie, reconnue lorsque l’UNRWA ne peut plus les protéger. Les récentes décisions judiciaires suisses pourraient changer la donne.