Catégorie : Actualités

Rashid Khalidi, le plus grand spécialiste américain de la Palestine, prend sa retraite : « Je ne veux plus être un rouage de la machine ».

Alors que le professeur de l’université de Columbia quitte ses fonctions, il évoque les manifestations étudiantes, les liens entre l’Irlande et la Palestine et la façon dont « l’enseignement supérieur s’est transformé en fonds spéculatif ».

Cycle de conférences Bisan – Marwan Rashed – Universalisme vs. Orientalisme

Nous sommes vraiment heureux d’accueillir le mercredi 16 octobre, à 19h heure de Palestine (18h heure de Paris), pour le prochain événement du Cycle de Conférences Bisan, le Professeur Marwan Rashed, qui parlera de « Universalisme vs. Orientalisme. Quelques pensées sur et dans le sillage d’Edward Saïd ». Inscrivez-vous ici pour recevoir le lien Zoom !

«Nous sommes prêts » : Pour le personnel hospitalier du Sud-Liban, des années de formation sont mises à l’épreuve par l’arrivée du conflit à leur porte.

Dans un hôpital du Croissant-Rouge palestinien situé dans le sud du Liban, le personnel et les volontaires se sont préparés à un moment qu’ils espéraient ne jamais voir arriver. Maintenant que c’est le cas, la préparation porte ses fruits. Mais la tâche qui les attend est colossale. Par Joe Baaklini, chargé de communication à l’IFRC.

La liberté d’expression dans les universités

Gina Romero, rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit de rassemblement et la liberté d’association vient de publier une liste de recommandation aux universités du monde entier pour gérer les expressions de solidarité avec le peuple palestinien. On le trouvera en pièce jointe. On pourra comparer ce texte à la circulaire adressée par le nouveau Ministre de l’Enseignement Supérieur aux présidents d’université, également en pièce jointe, et juger par ce contraste de l’état de la liberté d’expression en France.

Au Liban, les bombardements israéliens ont fauché des familles entières : « J’ai perdu mon épouse, mon fils, ma maison. Ma vie est brisée »

Mohamed Sabra, un chef d’entreprise de 40 ans, était chez lui en famille à Nabi Ayla, dans la plaine de la Bekaa, le 23 septembre, lorsque l’armée israélienne a bombardé son immeuble. Aujourd’hui, il n’a plus que son fils aîné, âgé de 7 ans, grièvement blessé.