Je travaille chez Google depuis des dizaines d’années. Ce que fait Google me rend malade
Pour la première fois, je me sens poussée à parler publiquement, parce que notre entreprise renforce désormais la violence d’État dans le monde.
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Pour la première fois, je me sens poussée à parler publiquement, parce que notre entreprise renforce désormais la violence d’État dans le monde.
Chassés une fois de plus de chez eux, des milliers de Palestiniens se sont entassés dans le campus de l’Université Islamique situé à l’est de la ville de Gaza – où les livres sont le seul combustible disponible pour faire bouillir de l’eau, chauffer de la nourriture et rester au chaud.
Environ 100 000 Israéliens sont dits avoir cessé de se présenter aux périodes de réserve. Si leurs raisons diffèrent, l’ampleur démontre l’effacement de la légitimité de la guerre.
Saignant de blessures bénignes d’éclats d’obus. Mourant de maladies que les médecins n’ont pas le temps de soigner. Devenant aveugle dans l’attente d’évacuation à l’étranger. Ce sont les multiples victimes de la guerre d’Israël contre le système de santé de Gaza.
Des Palestiniens innocents sont régulièrement forcés par des soldats à entrer dans des maisons de Gaza pour s’assurer qu’il n’y a pas de terroristes ou d’explosifs. Alors, pourquoi la division des enquêtes criminelles de la police militaire de l’IDF lance seulement six enquêtes sur l’utilisation de boucliers humains ?
L’Académie des Arts et des Sciences cinématographiques a envoyé une déclaration à ses 11 000 membres à la suite de critiques montantes sur son manque de soutien public à Hamdan Ballal, coréalisateur palestinien du documentaire oscarisé “No Other Land,”récemment emprisonné par les forces israéliennes.
Hamdan Ballal dit que les Israéliens l’ont frappé à coups de crosse et ont menacé de le tuer.
Les pertes comprennent des femmes, des enfants et des journalistes, près d’une semaine après la rupture du cessez-le feu par Israël
L’abus du mot et la diffusion du phénomène
Nous écrivons au nom du Comité pour la liberté académique de la Société britannique des études sur le Moyen Orient (BRISMES) et de la Société des études sur le Moyen Orient (SeSaMO) afin d’exprimer notre grave préoccupation quant au traitement du professeur Joseph Daher.