La plus haute cour de justice du monde a confirmé ce que nous, Palestiniens, avons toujours su : les colonies d’Israël sont illégales
Cette décision met à nu la réalité de l’occupation israélienne. Agir selon elle va nous rapprocher de la paix.
Cette décision met à nu la réalité de l’occupation israélienne. Agir selon elle va nous rapprocher de la paix.
Cette déclaration vient des Directeurs de l’École d’analyse culturelle d’Amsterdam (Amsterdam School for Cultural Analysis, ASCA).
À quelques jours de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris, nous disons notre colère face à la présence du président des génocidaires israéliens à Paris, Isaac Herzog, qui s’était fait photographier fièrement en train de dédicacer des obus israéliens destinés à massacrer les habitants de Gaza…. Elle est une véritable provocation et une insulte faite aux plus de 40 000 morts et 84 000 blessés à Gaza et à tout le peuple palestinien. Elle est une honte aussi pour la France et le CIO qui blanchissent ainsi cet État génocidaire.
Le gouvernement israélien a longtemps insisté sur le fait qu’il n’y avait pas de Palestine dont il pouvait occuper les terres et que les territoires étaient « contestés ». La Cour a rejeté ce point de vue.
Alors que se poursuivent les massacres en territoires palestiniens, environ 400 normalien·nes, étudiant·es, personnels, enseignant·es, chercheur·euses, et ancien·nes, apportent leur soutien à la mobilisation étudiante à l’École Normale Supérieure inscrite dans la dénonciation des violations du droit international et des droits humains, et invitent, notamment, à suspendre tout partenariat avec des institutions académiques complices de violations du droit international.
Omer Bartov revient sur l’expérience de sa rencontre avec des étudiants de droite qui venaient de rentrer de leur service militaire à Gaza.
Le système universitaire américain s’est montré incapable de s’adapter à une compréhension plus nuancée des relations entre les Juifs et Israël.
Gaza, Haifa, 16 juillet 2024 — Ce jour est exactement celui du dixième anniversaire de l’assassinat de quatre enfants palestiniens de la famille Bakr : Ahed (9 ans), Zakaria (10 ans), Mohammed (11 ans), et Ismail (9 ans) – par l’armée israélienne à Gaza. En commémorant ce sombre anniversaire, Al Mezan, Adalah et le Centre palestinien pour les droits humains (PCHR) soulignent que le système juridique israélien échoue systématiquement à faire rendre des comptes aux coupables des actes de violence contre des Palestiniens. Cet échec persiste dans la campagne militaire génocidaire d’Israël contre plus de deux millions de Palestiniens de Gaza au cours des neuf derniers mois.
Si le monde accepte la façon dont Israël interprète le principe de proportionnalité, alors le génocide deviendra justifié.
La liberté de réunion et d’expression sont des droits démocratiques fondamentaux, qui doivent être protégés, aussi et surtout dans les universités. Devant l’annonce du bombardement de Rafah et l’aggravation de la crise humanitaire à Gaza, l’urgence de la demande des protestataires devrait être compréhensible même pour ceux et celles qui ne partagent pas toutes leurs revendications concrètes ou qui considèrent inappropriée la forme d’action choisie.