Catégorie : Tribunes

Le génocide n’est pas un sport olympique, la France ne doit pas s’en rendre complice !

À quelques jours de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris, nous disons notre colère face à la présence du président des génocidaires israéliens à Paris, Isaac Herzog, qui s’était fait photographier fièrement en train de dédicacer des obus israéliens destinés à massacrer les habitants de Gaza…. Elle est une véritable provocation et une insulte faite aux plus de 40 000 morts et 84 000 blessés à Gaza et à tout le peuple palestinien. Elle est une honte aussi pour la France et le CIO qui blanchissent ainsi cet État génocidaire.

Face aux massacres en territoires palestiniens, l’ENS ne peut garder le silence

Alors que se poursuivent les massacres en territoires palestiniens, environ 400 normalien·nes, étudiant·es, personnels, enseignant·es, chercheur·euses, et ancien·nes, apportent leur soutien à la mobilisation étudiante à l’École Normale Supérieure inscrite dans la dénonciation des violations du droit international et des droits humains, et invitent, notamment, à suspendre tout partenariat avec des institutions académiques complices de violations du droit international. 

Pour commémorer une décennie d’impunité : l’assassinat à Gaza de quatre enfants de la famille Bakr par l’armée israélienne

Gaza, Haifa, 16 juillet 2024 — Ce jour est exactement celui du dixième anniversaire de l’assassinat de quatre enfants palestiniens de la famille Bakr : Ahed (9 ans), Zakaria (10 ans), Mohammed (11 ans), et Ismail (9 ans) – par l’armée israélienne à Gaza. En commémorant ce sombre anniversaire, Al Mezan, Adalah et le Centre palestinien pour les droits humains (PCHR) soulignent que le système juridique israélien échoue systématiquement à faire rendre des comptes aux coupables des actes de violence contre des Palestiniens. Cet échec persiste dans la campagne militaire génocidaire d’Israël contre plus de deux millions de Palestiniens de Gaza au cours des neuf derniers mois.

Déclaration des enseignants des universités berlinoises

La liberté de réunion et d’expression sont des droits démocratiques fondamentaux, qui doivent être protégés, aussi et surtout dans les universités. Devant l’annonce du bombardement de Rafah et l’aggravation de la crise humanitaire à Gaza, l’urgence de la demande des protestataires devrait être compréhensible même pour ceux et celles qui ne partagent pas toutes leurs revendications concrètes ou qui considèrent inappropriée la forme d’action choisie.