traduction : Traduction CG pour l’AURDIP

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Universitaires israéliens : l’attaque du gouvernement des États-Unis contre les universités ne nous protège pas

Nous nous déclarons solidaires de nos collègues basés aux États-Unis— qu’ils soient citoyens des États-Unis, résidents permanents ou détenteurs de visas universitaires. Nous considérons que les invocations de l’administration américaine à l’antisémitisme sont des attaques malhonnêtes, à peine voilées, contre les musulmans, les Palestiniens, les pro-palestiniens et les étudiants internationaux, servant de prétexte à la violente suppression d’une parole protégée et à l’abolition de l’université comme espace de recherche libre. Nous reconnaissons aussi que la même rhétorique peut rapidement se retourner contre nous ou d’autres groupes si, et quand, cela sert les intérêts du gouvernement. Nous soutenons nos collègues fermement dans cette offensive dangereuse contre l’université.

« J’ai élevé mon fils pour la paix et ils l’ont assassiné quand il est allé sauver des gens »

Subhi Bahloul a étudié l’hébreu à l’université de Tel Aviv et l’a enseigné à Gaza. Il a raconté à son fils Muhammad qu’il avait des amis en Israël. Le 23 mars, Muhammad, un bénévole pour le Croissant-rouge, a fait partie des 15 travailleurs de l’aide humanitaire abattus par des soldats à Rafah.
« Je n’ai jamais imaginé que des équipes médicales seraient assassinées », dit son père dans une interview avec Local Call.

Israël bombarde l’hôpital baptiste de Gaza, le mettant hors service et laissant près d’un million de Palestiniens sans services de santé vitaux

Le Centre palestinien pour les droits humains (PCHR) condamne dans les termes les plus fermes le crime odieux commis par les Forces d’occupation israéliennes (FOI) aujourd’hui, 13 avril 2025, à l’aube, quand elles ont directement bombardé l’hôpital al-Ahli Arabi (« hôpital baptiste ») dans la ville de Gaza. Cet établissement de santé est le dernier debout fournissant des services de santé à plus d’un million de Palestiniens de la ville de Gaza et du nord de la Bande de Gaza, à une capacité très limitée, au milieu de l’effondrement total du système de santé dû au génocide en cours contre la population de la Bande de Gaza.

Gaza: Des « arrêtés d’évacuation » israéliens mènent au transfert forcé de Palestiniens

Les frappes de l’armée israélienne continuent dans tout Gaza, ne laissant aucun lieu sûr. Entre le 18 mars et le 9 avril 2025, il y a eu quelque 224 incidents de frappes israéliennes sur des bâtiments résidentiels et sur des tentes pour personnes déplacées de l’intérieur (PDI). Dans quelque 36 frappes pour lesquelles le Bureau des droits humains des Nations Unies a corroboré l’information, les victimes recensées jusqu’à présent ont été seulement des femmes et des enfants.

Remarques à la presse du Secrétaire général des Nations Unis à propos de Gaza

Le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a dit mardi [8 avril 2025] que Gaza était devenu « un champ de mort », blâmant Israël pour son blocage de l’aide humanitaire et le non-respect de « ses obligations catégoriques » à répondre aux besoins des résidents du territoire palestinien.Le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a dit mardi [8 avril 2025] que Gaza était devenu « un champ de mort », blâmant Israël pour son blocage de l’aide humanitaire et le non-respect de « ses obligations catégoriques » à répondre aux besoins des résidents du territoire palestinien.

Des images satellite révèlent la destruction semée par les FDI dans les camps de réfugiés de Cisjordanie

Depuis le début de l’opération israélienne il y a plus de deux mois, des centaines de maisons ont été endommagées ou détruites dans les camps de réfugiés de Jénine, de Nur al-Shams et de Tulkarm. L’objectif : « liberté de mouvement » pour les soldats.