À la recherche des enfants disparus de Gaza
Enterrés sous des décombres, perdus dans le chaos, décomposés au point d’être méconnaissables : la lutte désespérée pour retrouver des milliers de disparus pendant que la guerre menée par Israël continue.
Toutes les traductions par SM
Enterrés sous des décombres, perdus dans le chaos, décomposés au point d’être méconnaissables : la lutte désespérée pour retrouver des milliers de disparus pendant que la guerre menée par Israël continue.
Les humanitaires à Gaza continuent leur travail dans des conditions impossibles, parce qu’il n’existe pas d’autre choix.
L’Université de Valence persiste dans son engagement ferme envers ses valeurs : la paix, la justice, les droits humains et la démocratie. Elle condamne les actions militaires israéliennes qui ont fait des dizaines de milliers de morts, de blessés et de déplacés. Elle s’engage à ne signer aucun contrat ou accord de collaboration avec les institutions, universités et centres de recherche israéliens, tant que les crimes contre l’humanité infligés au peuple palestinien et la violation systématique et massive des droits humains ne cessent pas.
Depuis 7 mois, sous les yeux du monde, des travailleurs de la santé subissent des meurtres, sont enlevés, torturés, exécutés et jetés une fois morts dans des charniers [1]; des patients sont tués dans leur lit d’hôpital ; des hôpitaux et des dispensaires sont bombardés délibérément ; des infrastructures de santé et d’assainissement font l’objet de destructions ciblées ; la fourniture d’aide humanitaire et de médicaments essentiels est empêchée pendant une famine historique fabriquée pour servir d’arme de guerre ; et les Palestiniens de Gaza se voient infliger des conditions destinées à être incompatibles avec la vie.
La Cour internationale de justice a ordonné à Israël de cesser son attaque contre Rafah. Les États-Unis ont encore une chance d’empêcher le bain de sang.
M. Awartani est un étudiant palestino-américain de l’université Brown.
L’expérience de Gaza se poursuit, et elle entraîne le monde plus loin qu’aucun de nous ne l’aurait cru possible. Dans notre article, La nouvelle politique d’exclusion : Gaza comme prologue, publié il y a plus de deux ans, nous affirmions qu’Israël avait transformé Gaza en laboratoire humain où des conditions entièrement nouvelles étaient créées artificiellement.
Maintenant, nous savons. La finalité de l’expérience de Gaza est d’assurer, non plus la séparation ou la répudiation, mais l’élimination par le massacre génocidaire ou, par une forme d’euphémisme, une émigration “forcée” ou “volontaire” vers d’autres pays qui, dans l’ensemble, ne désirent pas accepter ceux qui sont chassés.
Ivar Ekeland et Sara Roy
Sur les campus américains, nous constatons que les jeunes refusent pour des raisons morales d’être complices d’une violence acceptée par leurs aînés
CNN — Un chirurgien de premier plan à Gaza est mort dans une prison israélienne après plus de quatre mois de détention, selon des groupes de prisonniers palestiniens qui ont dénoncé sa mort en estimant qu’elle participe d’un “ciblage systématique” des soignants.
Fiche d’information conjointe du Centre Bisan pour la Recherche et le Développement et de la Coalition AMAN : À Gaza, les guet-apens de la farine