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En soutien à Rima Hassan et aux voix (pro)palestiniennes

Plus de 500 élus locaux, personnalités politiques nationales et députés européens, dont Mathilde Panot, Marine Tondelier, Jean-Paul Lecoq, Philippe Poutou, Manon Aubry et Leila Shahid, s’insurgent du sort « ignominieux » réservé aux figures palestiniennes qui, depuis la France, s’évertuent à défendre la justice et la paix, à l’instar de la juriste franco-palestinienne Rima Hassan. Nous ne sommes pas dupes, disent ces politiques, les intimidations ont un seul but : faire taire la Palestine, et toutes les voix qui la défendent.

‘Nous mourons à petit feu’ : Les Palestiniens mangent de l’herbe et boivent de l’eau polluée alors que la famine menace à Gaza

Le fossé entre ce dont les civils palestiniens ont besoin et ce qu’on leur donne est énorme

Après le début de la guerre Israël-Hamas, les Nations Unies ont estimé que les Palestiniens avaient besoin de plus de 1.2 milliards de dollars d’aide humanitaire, dont plus de 90 % pour les résidents de Gaza. Jusqu’ici, à peine plus de la moitié du financement requis en urgence a été fourni.

« Parmi les morts, j’ai aperçu ma mère » : à Gaza, la vie des enfants brisée par la guerre

Depuis le 7 octobre, plus de 5 350 enfants auraient péri dans les bombardements de l’armée israélienne sur la bande de Gaza. Les jeunes survivants, eux, affrontent les pénuries et le traumatisme d’avoir vu leur famille décimée. Des journalistes palestiniens sont allés à leur rencontre. Nourhan, Muhammad et Ahmed sont adolescents. Ils n’ont connu que la guerre depuis leur naissance. Ils nous disent leur souffrance, mais aussi leur volonté de s’imaginer un autre destin.

Le CNRS doit se conformer à l’ordonnance de la CIJ et mettre fin à toute coopération scientifique avec Israël

Ivar Ekeland, président de l'AURDIP, a écrit à Antoine Petit, Président-directeur général du CNRS, pour s’étonner que le CNRS relance de nouveaux projets de coopération franco-israéliens après l'ordonnance de la Cour Internationale de Justice (CIJ) du 26 janvier 2024 qui souligne les forts risques que Israël commette actuellement un génocide à Gaza.