Catégorie : Tribunes

Strike Germany

TRIKE GERMANY est un appel à la grève des travailleurs.euses culturels internationaux dans les institutions culturelles allemandes. Il s’agit d’un appel à refuser l’utilisation par les institutions culturelles allemandes de politiques maccarthystes visant à supprimer la liberté d’expression, en particulier les expressions de solidarité avec la Palestine.

STRIKE GERMANY vise à suspendre tout travail et présence des institutions culturelles allemandes (festivals, panels, expositions) jusqu’à ce que les demandes suivantes soient satisfaites. 

STRIKE GERMANY s’engage dans la lutte pour la libération et contre l’embargo allemand sur la solidarité internationaliste.

La famine comme méthode de guerre

Aujourd’hui, devant la Cour internationale de justice de La Haye, l’Afrique du Sud a accusé Israël de génocide. Au cœur de son argumentation, l’Afrique du Sud affirme qu’Israël détruit la population de Gaza en la privant de nourriture. L’article 2(c) de la Convention sur le génocide interdit la « soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ». Israël affirme que ces accusations sont « sans fondement ».

Marchons pour le droit à la vie des Palestinien•ne•s et contre l’impunité du gouvernement israélien

À toutes celles et ceux qui dénoncent l’épuration ethnique en Palestine, le génocide à Gaza, les crimes en Cisjordanie et la répression des Palestinien·ne·s de ‘48 : prenez la route vers Bruxelles avec nous le 20 janvier pour dénoncer les atrocités qui se déroulent sous nos yeux !

L’AURDIP soutient cette marche pour la Palestine !

L’AFRIQUE DU SUD ET L’HONNEUR DE L’HUMANITÉ

C’est l’Afrique du Sud, un pays certes important sur le continent africain, mais qui reste fragile trente ans après la fin du régime raciste de l’apartheid, qui a osé saisir la justice internationale pour mettre fin au génocide en cours. Ce n’est ni la France, qui se rêve toujours en « pays des droits de l’homme », ni la Grande-Bretagne, qui a une responsabilité historique dans la situation des Palestiniens, ni les États-Unis, qui continuent à se voir comme « la plus grande démocratie du monde », ni même les pays scandinaves, qui sont souvent présentés comme moteurs en matière de progrès humains. C’est l’Afrique du Sud – et l’Afrique du Sud seule, au nom de son histoire – qui a entrepris de documenter les crimes de l’armée israélienne et les intentions génocidaires des dirigeants de l’État hébreu, qui les a compilés dans un rapport et qui les a présentés devant les juges de la CIJ, au cours d’une audience historique. L’une des avocat·es mandaté·es par Pretoria, Adila Hassim, a d’ailleurs été très claire dès le début de son intervention : « Cette affaire souligne ce qui constitue l’essence de notre humanité commune. »

« Cessez d’affamer Gaza ! » Une campagne de l’Union des comités du travail agricole (UAWC)

Depuis le 7 octobre, la bande de Gaza est l’épicentre d’une guerre génocidaire israélienne. Ce terme souligne avec gravité l’intensité et le ciblage délibéré de civils. Cette guerre génocidaire, qui se déroule depuis plus de 80 jours, ne se distingue pas seulement par sa brutalité mais par un nombre catastrophique de victimes humaines.

Intersyndicale de Sorbonne Université : « Pour un cessez le feu immédiat et définitif au proche Orient – Pour un soutien aux universités de Gaza »

Nous, personnels de Sorbonne Université, exprimons notre solidarité envers les populations affectées de tout coté. Nous nous indignons de tant de morts et de destructions et dénonçons toutes les violences perpétrées contre les civils… Nous appelons à ce que soient examinés les partenariats entre SU et les établissements d’enseignement supérieur et de recherche israéliens afin de s’assurer que nos coopérations scientifiques ne soient pas susceptibles de contribuer aux violations des droits des Palestiniens et afin que notre université puisse utiliser ses liens avec des universités israéliennes pour soutenir l’exercice des libertés académiques et la fin des restrictions de la liberté de circulation des universitaires et étudiants palestiniens.