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Les membres de l’AMPAS réagissent au manque de soutien au réalisateur Hamdan Ballal de la part de la direction de l’AMPAS

Le 26 mars 2025, la direction de l’Académie des Sciences et des Arts du Cinéma (AMPAS) a envoyé par mail à ses membres une déclaration ayant pour objet « Notre Communauté Cinématographique Mondiale ». Cette déclaration répondait ostensiblement à la détention du réalisateur palestinien et lauréat 2025 du Meilleur Film documentaire de l’Academy Award, Hamdan Ballal, l’un des réalisateurs de « No Other Land », bien qu’elle n’ait mentionné ni le nom de Ballal ni celui du film, ni décrit les événements auxquels il répondait.

Cette déclaration de Bill Kramer et de Janet Yang était loin de répondre aux sentiments que nécessitait ce moment. C’est pourquoi nous émettons notre propre déclaration au nom des membres soussignés de l’Académie des Sciences et des Arts du Cinéma.

Harvard renvoie des dirigeants de son Centre d’Études sur le Moyen-Orient

Le doyen par intérim pour les sciences sociales de Harvard, David M. Cutler (promotion 1987), a renvoyé les dirigeants (membres du personnel enseignant) du Centre d’Études sur le Moyen-Orient (CMES), mercredi 26 mars, selon un enseignant familier avec la situation — un bouleversement dans un centre qui s’est retrouvé sous le feu des critiques pour ses programmes sur Israël et la Palestine.

Douze médias internationaux unis pour enquêter et poursuivre le travail des reporters palestiniens

Depuis le 7 octobre 2023, près de 170 journalistes palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza. Après que le Gaza Project a révélé le ciblage de certains d’entre eux par l’armée israélienne, Forbidden Stories et ses partenaires ont de nouveau enquêté sur ces reporters tués ou blessés dans l’exercice de leur métier, notamment ceux utilisant des drones. Nous dévoilons aussi les stratégies déployées par le gouvernement israélien – appuyé par certaines ONG – pour tenter de s’exonérer de ses responsabilités éventuelles dans la mort de ces journalistes.

Enfants sous les tirs : une enquête sur les soldats israéliens qui tirent sur des enfants | Fault Lines Documentary

La guerre à Gaza a tué près de 16000 enfants depuis octobre 2023, dont la plupart sont morts dans des bombardements sans discrimination. Pourtant un sous-ensemble profondément perturbant de ces morts est à mettre à part — les enfants arrivant dans les centres de traumatologie avec des blessures par balles.

« Plus qu’un être humain ne peut supporter » : le recours systématique par Israël à la violence sexuelle et procréative, et à d’autres formes de violence fondée sur le genre depuis le mois d’octobre

 Un nouveau rapport publié aujourd’hui par la Commission internationale indépendante chargée d’enquêter dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et en Israël, indique qu’Israël a eu de plus en plus recours à la violence sexuelle et procréative, ainsi qu’à d’autres formes de violence fondée sur le genre contre le peuple palestinien, dans le cadre d’un effort généralisé pour affaiblir les droits de la population à l’autodétermination. Le rapport montre également qu’Israël a commis des actes génocidaires en détruisant systématiquement les infrastructures de santé sexuelle et procréative.

Scholasticide à Gaza

Cet article examine le concept de « scolasticide », la destruction délibérée d’un système d’éducation et de ses institutions, dans le contexte de Gaza. Traçant ses racines historiques dans la Nakba de 1948, l’article situe le scolasticide dans le contexte plus large du colonialisme de peuplement sioniste et de ses politiques de dé-développement, de punition collective et de nettoyage ethnique. L’analyse prête une attention particulière à l’annihilation des écoles, des universités et de l’infrastructure universitaire de Gaza au cours de la guerre la plus récente à Gaza, tout en explorant les phénomènes enchevêtrés de génocide culturel, de domicide et d’écocide. Contrairement aux croyances dominantes sur la nature et la légitimité des attaques israéliennes sur le système éducatif de Gaza et plus largement sur son infrastructure, l’article évoque le droit international pour argumenter que les actions israéliennes sont disproportionnées, injustifiées et, ce qui importe, illégales.