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Nous condamnons la destruction du centre culturel de Gaza dans une attaque aérienne israélienne
Quatorze grands auteurs dramatiques et directeurs de théâtre, dont Mike Bartlett, Caryl Churchill, Vicky Featherstone et Rufus Norris, décrivent l’énorme colère et la peine profonde de leurs amis et collègues palestiniens.
Censure à Donaueschingen
Pendant des décennies, le festival de Donaueschingen (Donaueschinger Musiktage) n’a pas seulement défendu de nouvelles sonorités, mais aussi de nouvelles idées, de nouveaux discours, y compris controversés. Qu’il s’agisse de….
Un artiste belge emprisonné en Israël : libérons Mustapha !
Nous sommes très inquiets à propos du sort de notre ami Mustapha Awad, un jeune artiste et travailleur belge d’origine palestinienne. Mustapha a été arrêté en date du 19 juillet….
Selon son éditeur, le ministère britannique de l’Intérieur a empêché une auteure de s’exprimer lors d’un festival au Royaume-Uni
À la suite de plusieurs refus de visas, la Palestinienne Nayrouz Qarmout ne participera sans doute pas au festival du Livre d’Edimbourg
Education à l’oppression: les institutions universitaires israéliennes lient leur destin à l’élite sécuritaire israélienne
Trois faits récents dans les plus grandes universités israéliennes montrent que les institutions universitaires et sécuritaires renforcent leur coopération.
Cet article a été publié à l’origine dans le bulletin d’information de juillet du Comité britannique pour les universités de Palestine (BRICUP)
« J’ai l’impression de vivre dans une fosse septique » : l’effondrement environnemental de Gaza
Le 14 juillet dernier, des avions israéliens ont bombardé des zones de la bande de Gaza lors de ce qui a constitué la plus grave série de frappes sur le….
‘L’art est une forme de résistance’ : Des frappes aériennes israéliennes détruisent le centre culturel de Gaza
La Fondation al-Meshal était l’une des quelques sorties culturelles possibles pour les Gazaouis. Jeudi, elle a été écrasée sous les bombes.
«Être Palestinien, ça veut dire qu’on ne sera jamais tranquille»
Amir Hassan a 27 ans. Il a grandi dans un camp de réfugiés en Palestine avant de devenir assistant d’arabe au lycée Henri-IV à Paris il y a cinq ans. Il raconte le sentiment d’inquiétude et de culpabilité qui tenaille les Palestiniens de l’extérieur, et l’impossibilité, malgré l’exil, d’oublier la guerre.
Moment de vérité à Khan al-Ahmar
Parfois, le dernier jour d’audience n’est pas vraiment le dernier. Le 24 mai, les juges de la Cour suprême israélienne Sohlberg, Baron et Willner rendaient une décision de justice censément….