«Être Palestinien, ça veut dire qu’on ne sera jamais tranquille»
Amir Hassan a 27 ans. Il a grandi dans un camp de réfugiés en Palestine avant de devenir assistant d’arabe au lycée Henri-IV à Paris il y a cinq ans. Il raconte le sentiment d’inquiétude et de culpabilité qui tenaille les Palestiniens de l’extérieur, et l’impossibilité, malgré l’exil, d’oublier la guerre.