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« Je suis à peine de retour que me submerge déjà la tragédie de ce territoire assiégé » : l’historien Jean-Pierre Filiu raconte son séjour à Gaza

Dans son livre « Un historien à Gaza », à paraître mercredi 28 mai aux Arènes (224 pages, 19 euros), Jean-Pierre Filiu évoque son voyage de trente-deux jours, du 19 décembre 2024 au 21 janvier 2025, au sein du territoire palestinien. Un témoignage rare, dont « Le Monde » publie des extraits en avant-première.

Appel aux hauts responsables d’université à refuser la définition de l’IHRA de l’antisémitisme

Nous, le Réseau de Crise des Études sur le Génocide et l’Holocauste et ses alliés, nous exhortons toutes les universités à refuser d’adopter la Définition de Travail de l’Antisémitisme, problématique et perturbante, de l’Alliance Internationale du Souvenir de l’Holocauste (IHRA). Nous exhortons les responsables d’université dans un large spectre à rejoindre l’affirmation que contester et critiquer la violence d’État constitue un discours protégé sur les campus.

Stop au financement européen des institutions israéliennes, stop à la complicité avec l’Occupation, l’Apartheid et le Génocide

Cette pétition, signée par l’AURDIP et d’autres organisations académiques européennes, appelle l’Union européenne à mettre fin à sa complicité dans la guerre génocidaire menée par Israël à Gaza et dans les violations du droit international. Elle dénonce le financement continu, par l’UE, des universités israéliennes étroitement liées à l’appareil militaire et à l’occupation, tandis que les universités palestiniennes sont systématiquement détruites.

La pétition demande à l’UE de :

  • Mettre fin à toute coopération académique et scientifique avec les institutions israéliennes

  • Résilier le statut d’Israël comme pays associé au programme Horizon Europe

  • Reconstruire les institutions académiques palestiniennes

  • Enquêter sur l’impact des financements européens passés et futurs sur les droits humains en Israël et dans les territoires occupés

Elle appelle également l’UE à imposer des sanctions, y compris un embargo sur les armes, et à utiliser tous les leviers à sa disposition pour faire respecter le droit international.
Elle est ouverte à la signature des chercheurs, personnels universitaires et étudiant·es en remplissant le formulaire ici.