Tandis que les forces israéliennes intensifient leur attaque dévastatrice contre la bande de Gaza occupée, Amnesty International a recueilli des informations sur les attaques israéliennes illégales, notamment menées sans discrimination, qui ont causé d’importantes pertes civiles et doivent faire l’objet d’une enquête pour crimes de guerre.
Alors que des familles entières sont tuées par les bombes israéliennes, les parents adoptent des mesures désespérées pour que les enfants – ou du moins leurs souvenirs – survivent.
Des Palestiniens dont les permis de travail en Israël ont été révoqués seraient détenus dans des camps de détention, mais Israël a jusqu’à présent refusé de communiquer des informations sur eux, disent des groupes de défense des droits humains
Les collègues du chef du bureau d’Al Jazeera à Gaza rendent hommage à ce reporter chevronné qui pleure sa famille tuée lors d’un raid aérien d’Israël.
Une crise grave et déchirante se déroule dans les collines au Sud de Hébron ; elle requiert d’agir dans la plus grande urgence et avec le plus grand sérieux. Des colons se faisant passer pour des militaires ont lancé un assaut barbare sur le village de Susyiah. Ils ont soumis les habitants, enfants inclus, à des attaques violentes et barbares. Ces agresseurs ont lancé un ultimatum menaçant : si les villageois ne vident pas les lieux dans les 24 heures, ils assurent qu’ils reviendront et pratiqueront des meurtres.
Nathan Thrall soutient que l’accident dans lequel est mort le fils d’Abed Salama était prévisible, et même inéluctable, conséquence de l’occupation israélienne sous ses formes quotidiennes.
Au soir du 27 octobre, le gouvernement israélien et son armée ont donc décidé « d’intensifier » leurs bombardements sur la Bande de Gaza et d’engager des attaques militaires terrestres de grande ampleur. Ils ont coupé toutes les communications avec la Bande de Gaza.
L’appel qui suit provient d’un groupe de chercheurs japonais (spécialistes des Etudes sur le Moyen-Orient) à propos de la situation actuelle à Gaza. L’appel, qui a été publié d’abord en japonais le 17 octobre, a depuis été approuvé et signé par plus de 4000 personnes (chercheurs et citoyens), exprimant la profonde inquiétude de la société civile japonaise sur le désastre humanitaire en cours à Gaza et leur soutien à une solution pacifique de la crise.
Depuis les raids meurtriers du Hamas, elle s’estime traitée telle une « cinquième colonne », comme à Haïfa, grande ville dite « mixte », juive et arabe. Des étudiants et des employés sont sanctionnés, suspendus ou renvoyés. Leur parole en ligne est surveillée.
Amnesty International lance un appel urgent à un cessez-le-feu de toutes les parties au conflit dans la bande de Gaza et en Israël afin d’éviter de nouvelles pertes en vies humaines au sein de la population civile et de permettre aux habitant·e·s de Gaza de recevoir une aide vitale, sur fond de catastrophe humanitaire sans précédent.
