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« Parmi les morts, j’ai aperçu ma mère » : à Gaza, la vie des enfants brisée par la guerre

Depuis le 7 octobre, plus de 5 350 enfants auraient péri dans les bombardements de l’armée israélienne sur la bande de Gaza. Les jeunes survivants, eux, affrontent les pénuries et le traumatisme d’avoir vu leur famille décimée. Des journalistes palestiniens sont allés à leur rencontre. Nourhan, Muhammad et Ahmed sont adolescents. Ils n’ont connu que la guerre depuis leur naissance. Ils nous disent leur souffrance, mais aussi leur volonté de s’imaginer un autre destin.

Le CNRS doit se conformer à l’ordonnance de la CIJ et mettre fin à toute coopération scientifique avec Israël

Ivar Ekeland, président de l'AURDIP, a écrit à Antoine Petit, Président-directeur général du CNRS, pour s’étonner que le CNRS relance de nouveaux projets de coopération franco-israéliens après l'ordonnance de la Cour Internationale de Justice (CIJ) du 26 janvier 2024 qui souligne les forts risques que Israël commette actuellement un génocide à Gaza.

Rapport de synthèse actualisé : Campagne de l’UAWC « Arrêtez la famine à Gaza »

Alors que la guerre génocidaire israélienne atteint le Jour 113, la crise humanitaire dans la bande de Gaza a atteint des niveaux sans précédent en raison des actions d’occupation israéliennes, qualifiées de guerre génocidaire. Le bilan sur la vie et le bien-être humains est dévastateur et continue de s’aggraver chaque jour. Les chiffres des victimes s’élèvent maintenant à un nombre ahurissant de 27 000 vies perdues, un chiffre profondément préoccupant par son ampleur. Parmi celles-ci, les plus touché·e·s sont les plus vulnérables : les enfants et les femmes, qui représentent la majorité de plus de 70 000 blessé·e·s

Le XXIVe congrès du Comité international des Sciences historiques ne peut pas se tenir à Jérusalem

Des historiennes et historiens, provenant de plusieurs pays, interpellent les organisateurs du Comité international des sciences historiques (CISH-ICHS) sur le choix du lieu du prochain congrès. « Les événements qui se déroulent actuellement dans la région nous conduisent à vous demander de ne pas organiser ce congrès à Jérusalem ».

Empêchons l’assassinat de la culture palestinienne

« À travers les activités artistiques et les institutions culturelles, l’existence même du peuple est visée. » Après le saccage du célèbre « Théâtre de la Liberté » le 13 décembre dernier par l’armée israélienne, un ensemble d’artistes et de personnalités dénonce cette stratégie d’effacement. « Massacrer l’enfance et la jeunesse, détruire les installations éducatives, abattre les porteurs de sa culture, c’est assassiner un peuple. »