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“Pour un cessez-le-feu immédiat et permanent à Gaza” : le monde de la culture interpelle Emmanuel Macron
Parmi les signataires de cette tribune, on retrouve Virginie Efira, Edouard Louis, Justine Triet, Virginie Despentes, Annie Ernaux, Adèle Exarchopoulos, Claire Denis ou encore Flavien Berger…
“La culture pour un cessez-le-feu immédiat et permanent”. Dans une lettre adressée à Emmanuel Macron, acteur·rices, chanteur·euses, réalisateur·rices, auteur·rices et journalistes français·es appellent à un cessez-le-feu immédiat à Gaza. Une tribune qui exige “l’égalité des droits pour les Israéliens et les Palestiniens” et condamne “unanimement la haine, où qu’elle soit, et qui qu’elle touche. Nous rejetons sans réserve l’islamophobie et l’antisémitisme, qui nourrissent l’un et l’autre les mêmes abysses.”
Le bureau de l’ONU pour les droits humains dans les territoires occupés : Des meurtres injustifiés dans la ville de Gaza
Le HCDH pour les territoires occupés a reçu une information troublante selon laquelle les Forces de Défense Israéliennes (IDF) ont sommairement exécuté 11 hommes palestiniens non armés devant les membres de leurs familles dans le quartier de Al Remal de la ville de Gaza, ce qui donne l’alarme sur la possibilité qu’un crime de guerre ait été commis. Cela se produit à la suite d’allégations précédentes sur le ciblage délibéré et le meurtre de civils par les forces israéliennes.
Dr. Tarek Loubani pleure le docteur Hani Al-Haitham, chef du service des urgences de Shifa
Dr. Tarek Loubani est professeur à l’université de Western Ontario (London, Canada) ; c’est aussi un médecin urgentiste qui a donné des soins sur les lignes de front et dans les hôpitaux de Gaza, particulièrement à l’hôpital al-Shifa. Pendant la Grande Marche du retour en 2018, il avait été blessé à la jambe. Il a publié ce billet ce matin pour honorer la mémoire de son collègue, Dr. Hani Al-Haitham, chef du service des urgences de Shifa, tué avec sa famille par l’armée israélienne.
Il ne peut y avoir de critique
La censure ne permet pas seulement au massacre des Palestiniens de continuer ; elle sert aussi de miroir et de justification à la violence d’État.
Gaza est aux prises avec une faim catastrophique alors qu’un nouveau rapport prédit une famine si le conflit continue
ROME – Plus d’un foyer sur quatre à Gaza est actuellement confronté à une faim extrême et il existe un risque de famine, à moins que l’accès à une nourriture adéquate, à l’eau potable, aux services de santé et d’assainissement ne soit rétabli, selon le nouveau rapport du Cadre intégré de la classification de la sécurité alimentaire (IPC) publié aujourd’hui. L’IPC est une plateforme multipartite qui analyse les données pour déterminer la gravité et l’ampleur des crises alimentaires, selon des normes scientifiques reconnues au niveau international.
Après plus de deux mois de guerre, la famine menace à Gaza
Actuellement, 93 % des Gazaouis sont « en situation d’insécurité alimentaire aiguë », selon le Programme alimentaire mondial. Vendredi, une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU a exigé l’acheminement « à grande échelle » de l’aide humanitaire dans l’enclave.
Le monde d’après
La dystopie post-7 octobre
Disqualifier n’est pas penser : pour la libre expression des désaccords
Des intellectuels et des chercheurs du monde entier, dont Etienne Balibar, Joan W. Scott ou Enzo Traverso, jugent, dans cette tribune à « l’Obs », trop virulentes les réactions à un texte de Didier Fassin sur Gaza et s’alarment d’un climat de surveillance et d’autocensure.
A Gaza, le ciblage meurtrier des hôpitaux
L’armée israélienne investit les établissements les uns après les autres, au prix de gros dégâts humains et matériels. Selon l’OMS, au moins huit patients sont morts dans l’hôpital Kamal-Adwan, dans le nord du territoire palestinien.









