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La spirale de l’absurde du fanatisme pro-israélien de l’Allemagne
Alors que la répression de la solidarité avec la Palestine pénètre tous les secteurs de la société, l’image libérale de l’État devient rapidement une histoire que les Allemands ne peuvent se raconter qu’à eux-mêmes.
Dispute au sein de la société Max Planck concernant ses liens avec Israël
Déclaration d’un collectif d’universitaires en solidarité avec la Palestine de la Société Max Planck :
La Société Max Planck (SMP) est un organisme de recherche allemand financé par le gouvernement qui comprend 85 instituts de recherche (dont la plupart sont également basés en Allemagne), et c’est l’une des organisations les plus performantes au monde. Par conséquent, ses employés universitaires et non universitaires viennent d’horizons divers, et la SMP est fière de la diversité qu’elle favorise. Toutefois, cette position ne s’est pas toujours reflétée dans les déclarations et positions politiques que la SMP a exprimées au fil des ans, son soutien et sa collaboration continus avec les institutions de recherche israéliennes, qui participent au régime d’apartheid en Palestine occupée, en étant un excellent exemple.
Guerre à Gaza: ce que risquent les Franco-Israéliens auteurs d’exactions
Les combats continuent de faire rage dans la bande de Gaza où plus de 32 000 palestiniens ont été tués en cinq mois. La Cisjordanie occupée est en ébullition et les tensions et les heurts sont quotidiens à la frontière libano-israélienne. L’armée israélienne est sur tous les fronts. Dans ses rangs, de nombreux Français et binationaux qui ont choisi délibérément de partir au combat.
Raji Sourani : « L’Europe et l’Occident sont complices du génocide en cours »
« Comment vos pays peuvent-ils se regarder dans le miroir ? » Le directeur du Centre palestinien pour les droits humains exhorte l’Europe à cesser de « couvrir » Israël face aux massacres à Gaza. « Les Occidentaux, dit-il, n’ont aucune volonté politique. Et donc ils soutiennent. »
Raji Sourani est un avocat palestinien, fondateur en 1995 et directeur exécutif du Centre palestinien pour les droits humains (PCHR), une ONG située à Gaza. Ancien militant politique, il a été incarcéré à plusieurs reprises en Israël dans les années 1970 et 1980 pour son appartenance au Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP).
Il a ensuite débuté une carrière juridique, qui lui a valu une reconnaissance internationale. Récipiendaire du prix Nobel alternatif en 2013, décoré en 2021 de l’ordre du mérite français, il a fait partie de l’équipe juridique de l’Afrique du Sud qui a introduit en début d’année une requête demandant à la Cour internationale de justice (CIJ) de qualifier de « génocide » la guerre israélienne à Gaza. Le 26 janvier, la Cour a reconnu un « risque plausible » de génocide et exigé des mesures conservatoires, ignorées par Israël.
Un rapport de la Banque mondiale fait état d’un risque imminent de famine catastrophique dans la bande de Gaza
Ces conclusions interviennent alors que le secrétaire général des Nations Unies demande à Israël d’accorder un accès inconditionnel à Gaza pour l’acheminement de l’aide.
L’accusation de ‘famine provoquée par l’homme’ portée contre Israël est étayée par des preuves de plus en plus nombreuses
La perspective qu’Israël se retrouve accusé de crimes de guerre s’est rapprochée après la condamnation par l’ONU des restrictions de l’aide à Gaza.
Selon l’Observatoire mondial de la faim, la pénurie alimentaire catastrophique à Gaza signifie qu’une hécatombe est imminente
LE CAIRE/JERUSALEM/LONDRES, 18 mars (Reuters) – Les pénuries alimentaires extrêmes dans certaines parties de la bande de Gaza ont déjà dépassé les niveaux de famine, et la mort de masse est maintenant imminente sans un cessez-le-feu immédiat et un afflux de nourriture dans les zones coupées par les combats, a déclaré lundi l’Observatoire mondial de la faim.
Des médecins américains et britanniques venus à Washington pour mettre en garde contre les « atrocités effroyables » commises par les FDI à Gaza
Des médecins de retour de missions bénévoles dans des hôpitaux assiégés déclarent aux autorités que l’aide n’a pas de sens sans un cessez-le-feu.
Défendons nos étudiant·e·s et dénonçons l’asymétrie de traitement de notre institution face à la guerre en cours contre le peuple palestinien
Nous, salarié·e·s de Sciences Po, exprimons notre profonde inquiétude vis-à-vis de la position dela direction de l’école à la suite de la mobilisation étudiante du 12 mars et plus largement lacommunication institutionnelle depuis le 8 octobre.