Les Etats-Unis quittent le Conseil des droits de l’homme de l’ONU
La représentante américaine auprès des Nations unies a formalisé la décision de la Maison Blanche, qui juge l’instance partiale envers Israël.
La représentante américaine auprès des Nations unies a formalisé la décision de la Maison Blanche, qui juge l’instance partiale envers Israël.
Un amendement des Etats-Unis visant à condamner le Hamas pour ces mêmes violences a en revanche été rejeté par l’Assemblée générale.
Excellente nouvelle transmise par Lunettes Rouges
Je ne vais pas écrire de critiques d’une série d’expositions qui vont avoir lieu cette année dans le cadre d’une « Saison France Israël »… J’invite tous les critiques d’art à refuser d’écrire sur ces manifestations.
Editorial du « Monde ». La manifestation de Palestiniens dans la bande de Gaza, le 30 mars, a été durement réprimée : dix-huit morts et plus de mille blessés. Alors même que la grande majorité des manifestants ne représentaient pas de menace sérieuse pour Tsahal.
Des dizaines de milliers de Palestiniens manifestaient vendredi à quelques mètres de la clôture qui les sépare d’Israël. Au moins seize d’entre eux ont été tués par l’armée israélienne.
Selon l’ancien rapporteur spécial de l’ONU dans les territoires palestiniens, auteur d’un rapport très controversé, le premier ministre israélien cherche à instaurer un système de domination « soft », plutôt que de permettre la création d’un Etat palestinien.
Il faut remonter à 1980 pour trouver un avertissement aussi clair des Etats-Unis que l’abstention lors du vote sur la colonisation au Conseil de sécurité vendredi.
[Note de l’AURDIP : les fantasmes des éditeurs du Monde sur les supposés « excès » de BDS en France dans le préambule de cet entretien, inséré par le Monde sans consulter les auteurs, confirme l’analyse d’Omar Barghouti sur l’hypocrisie française.]
Propos recueillis par Nirit Ben-Ari (journaliste israélienne)
Le Monde a choisi d’accueillir la rencontre entre Omar Barghouti, militant palestinien des droits de l’homme et animateur du réseau BDS (Boycott, désinvestissement, sanctions), qui appelle à organiser des campagnes de boycottage d’Israël en raison de l’occupation des territoires palestiniens, et la journaliste israélienne Nirit Ben-Ari, connue pour ses engagements et son travail dans Haaretz. Cet entretien, nous aurions très bien pu la faire effectuer par un journaliste de notre équipe. Si nous avons choisi de déroger à la règle, c’est que la rencontre entre Omar Barghouti et Nirit Ben-Ari est une première. Pour l’un comme pour l’autre, la question du boycottage met en jeu des références historiques et des concepts (discrimination, apartheid) dont les échos et la signification sont radicalement différents, voire opposés. Ce dialogue direct est d’autant plus salutaire qu’en France, la démarche de BDS suscite des excès dans un camp – ceux qui assimilent toute pression sur Israël à une entreprise de délégitimation – comme dans l’autre – ceux qui, sous couvert de boycott, nient à Israël son droit à l’existence. Puisse le débat en sortir grandi !
« Quand la violence crée une spirale incontrôlée et la mort de 300 civils innocents, la situation exige une réponse urgente et déterminée », viennent d’indiquer à bon escient le….