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Ne rien céder aux droits du peuple palestinien

A l’initiative de l’agence Media Palestine, plusieurs personnalités réagissent au lendemain de la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv et dénoncent la position du président de la République. «Macron marche ainsi dans les pas de tous ceux qui veulent criminaliser les luttes en faveur de la justice en Palestine et pour les droits des Palestinien-ne-s».

Des dirigeants interconfessionnels interdits d’entrer en Israël en raison de leur soutien aux droits de l’homme des Palestiniens

Cinq dirigeants d’une délégation interconfessionnelle se dirigeant vers Israël/Palestine se sont vu refuser l’autorisation d’embarquer à bord de leur avion, aux États-Unis, dans ce qui semble être une application de l’interdiction de voyager en Israël visant celles et ceux qui soutiennent les droits des Palestiniens et le boycott, le désinvestissement et des sanctions (BDS) contre Israël.

La rabbin Alissa Wise : « Il nous a été dit à un contrôle que la compagnie aérienne avait reçu un courrier du gouvernement israélien l’informant que nous n’étions pas autorisés à prendre l’avion pour Israël. Je n’ai même pas pu aller jusqu’à la vérification de mon sac ».

Bienvenue : Une lettre de Mahmoud Darwish

Le célèbre poète palestinien Mahmoud Darwish a été le premier écrivain que le Festival de Littérature de Palestine ait approché pour lui demander d’être Parrain Fondateur. Il a accepté. Il devait prendre la parole en mai 2008 à l’inauguration de PalFest dans la ville de Ramallah en Cisjordanie occupée, mais des raisons médicales l’ont empêché d’y être présent. Il a alors envoyé une lettre. Darwish est mort trois mois plus tard en août.

La traduction en anglais de cette lettre figure en introduction de Ceci N’est Pas une Frontière, recueil d’essais, journaux et poèmes récemment publié pour les dix ans de PalFest. La lettre de Darwish figure ici en ligne pour la première fois.

Témoignages du massacre censuré de Deir Yassin : « Ils ont empilé les corps, et ils les ont brûlés »

Un jeune garçon est attaché à un arbre et on y met le feu. Une femme et un vieil homme abattus dans le dos. Des filles sont alignées contre un mur et abattues à la mitraillette. Les témoignages recueillis par la cinéaste Neta Shoshani sur le massacre à Deir Yassin sont difficiles à traiter, même 70 ans après les faits.