Déclaration en solidarité avec les manifestations étudiantes pour Gaza
Campement de Solidarité avec Gaza à l’Université de Pensylvanie, Philadelphie, USA. Photo de Joe Piette.
Campement de Solidarité avec Gaza à l’Université de Pensylvanie, Philadelphie, USA. Photo de Joe Piette.
Dans la plupart des cas de génocide, de la Bosnie à la Namibie, du Rwanda à l’Arménie, les auteurs du meurtre ont dit qu’ils agissaient en état de légitime défense. Le fait que ce qui se passe à Gaza ne ressemble pas à l’Holocauste, écrit le spécialiste de l’Holocauste Amos Goldberg, ne signifie pas qu’il ne s’agit pas d’un génocide.
Walid et moi avons échangé pendant vingt ans une correspondance politique, personnelle et philosophique. Même dans la mort, il m’accompagne sur le chemin de la vérité.
A travers les États Unis, « des têtes tombent » à la direction de quelques universités de l’Ivy League dans le cadre d’une répression dans l’ensemble des campus à l’encontre des étudiants qui protestent contre la guerre d’Israël à Gaza, mettant un coup de projecteur sur la question de la liberté d’expression dans le monde entier, a dit la Rapporteure Spéciale de l’ONU Irene Khan.
WASHINGTON 25 avril — Le sénateur du Vermont, Bernie Sanders a publié aujourd’hui la déclaration suivante en réponse à l’affirmation du premier ministre israélien Benjamin Netanyahou selon laquelle la critique de la politique du gouvernement israélien est antisémite :
Contre le musellement de voix engagées sur le conflit israélo-palestinien et face à la gravité des atteintes aux libertés publiques, un large collectif de personnalités, syndicats et d’associations (où l’on retrouve le Syndicat de la Magistrature, la LDH, le Gisti, la CGT ou encore le Planning familial) dénonce « une limitation inacceptable du pluralisme démocratique ».
Pour Amnesty International, qui publie mercredi 24 avril son rapport annuel, la guerre à Gaza est emblématique d’un ordre mondial « au bord de la rupture ». Entretien avec la chercheuse Budour Hassan, qui enquête pour l’ONG sur les exactions commises par Israël.
Il n’est pas facile de travailler sous une attaque militaire continue, de se réveiller et de fermer les yeux sur les blessures et les cadavres, de se sentir impuissant face à tout cela.
En réponse au déploiement par l’université Columbia de la police de New York afin d’arrêter des manifestants étudiants pro-Palestine, l’Union des libertés civiles de New York [New York Civil Liberties Union, NYCLU] a rendu publique la déclaration suivante, sous la responsabilité de la directrice exécutive Donna Lieberman:
Cette pétition est ouverte aux signatures des étudiants et étudiantes, enseignant.es-chercheur.es, chercheur.es, personnels administratifs (ITA et Biatss) de toutes les universités et laboratoires, affiliés ou non au CNRS