Mahmoud Khalil libéré après plus de trois mois de détention ICE
Un diplômé de Columbia libéré d’une prison de Louisiane après qu’un juge ait statué qu’il n’est ‘pas un danger pour la communauté – point’
Un diplômé de Columbia libéré d’une prison de Louisiane après qu’un juge ait statué qu’il n’est ‘pas un danger pour la communauté – point’
Un document qui a fuité marque un moment important dans les relations de l’UE avec cet allié, sans aller jusqu’à appeler à des sanctions immédiates
La peur du manque d’eau ainsi que de la famine grandit alors que le personnel médical fait état de davantage d’assassinats de Palestiniens qui cherchent de l’aide par les forces israéliennes.
Depuis le début de l’année 2025, en moyenne 112 enfants sont admis chaque jour pour recevoir un traitement contre la malnutrition.
Alors que les yeux du monde sont braqués sur le conflit entre Israël et l’Iran, la guerre génocidaire contre la population de Gaza se poursuit. Le nombre de victimes quotidiennes est même plus élevé depuis l’installation du nouveau système d’aide imposé par Israël et les États-Unis.
Au moins 51 personnes ont été tuées et des centaines d’autres blessées à Khan Younis alors qu’elles cherchaient à s’approvisionner en nourriture, selon le ministère de la santé de Gaza
Tout en ayant contribué au procès que l’université d’Harvard intente à l’administration Trump pour son ingérence, un groupe d’universitaires en Études Juives récuse la stratégie de défense de leur université. Selon Harvard, la critique du génocide israélien à Gaza constituerait de l’antisémitisme. Une conception « discriminatoire » qui « efface la diversité juive », et « tente de redessiner les frontières de la légitimité juive », selon Barry Trachtenberg, Victor Silverman, Atalia Omer, Raz Segal, Rebecca T Alpert et Judith Butler.
Chaque jour, plusieurs dizaines de Palestiniens sont tués aux abords des quatre sites de distribution d’aide mis en place par une organisation américaine sous supervision de l’armée israélienne.
La défense civile palestinienne a également fait état de « plus de 200 blessés », lundi, par des tirs israéliens, près du point d’aide humanitaire géré par la Gaza Humanitarian Foundation, à Rafah.
Ces derniers mois, l’émotion suscitée par les massacres perpétrés à Gaza a pénétré jusque dans les établissements scolaires, provoquant des signalements ou même la suspension d’une enseignante. Une intersyndicale appelle à la grève sur ce sujet, le 17 juin.