Auteur/autrice : Abbes

Mathématicien, Directeur de recherche à Paris, Secrétaire de l'AURDIP

La Cour Internationale de Justice réaffirme les mesures conservatoires précédemment prescrites et en indique de nouvelles

Le 24 mai 2024, la Cour a rendu son ordonnance sur la demande présentée par l’Afrique du Sud le 10 mai 2024 tendant à la modification de l’ordonnance du 28 mars 2024 en l’affaire relative à l’Application de la convention pour la prévention et la répression du crime de génocide dans la bande de Gaza (Afrique du Sud c. Israël), réaffirmant les mesures conservatoires précédemment prescrites et en indiquant de nouvelles.

« La qualification des actes commis à Gaza, notamment l’existence d’un possible génocide, mobilisera les juristes internationaux pour les années à venir »

L’avocat international Johann Soufi affirme, dans une tribune au « Monde », que l’énergie que déploient certains à dénoncer l’utilisation du terme « génocide » pour qualifier le conflit à Gaza vise à nier la gravité des crimes commis par Israël.

Occupation de l’ENS Paris, rue d’Ulm

Nous étudiant.es, alumnie.s, chercheuse.s, doctorant.es de l’ENS-PSL organisons un campement ouvert la Courô, renommée Hind’s Garden (jardin de Hind’s*), depuis ce matin mardi 21 mai pour demander la fin du génocide à Gaza et en soutien au peuple palestinien et aux étudiant.es gazaoui.es dont les universités ont été détruites par Israël.

Les forces israéliennes utilisent des enfants palestiniens comme boucliers humains à Tulkarem

Karam, 13 ans, à gauche, Mohammad, 12 ans, au centre, et Ibrahim, 14 ans, à droite, ont été utilisés comme boucliers humains par les forces israéliennes le 6 mai dans le camp de réfugiés de Tulkarem, selon des documents recueillis par Defense for Children International – Palestine. (Photos : avec l’aimable autorisation des familles)