traduction : Traduction BP pour l’AURDIP

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Graves menaces sur la liberté de parole à l’Ouest: La criminalisation du militantisme contre l’occupation israélienne

Le Gouvernement de Grande Bretagne a annoncé aujourd’hui qu’il est désormais illégal pour « des conseils municipaux, des organismes publics et même pour certains syndicats étudiants… de refuser d’acheter des….

Déclaration pour le boycott d’un groupe de travail à l’université hébraïque de Jérusalem

Cinquante-cinq universitaires et intellectuels, la plupart exerçant une fonction en lien avec l’Asie du Sud, et quatre grandes associations académiques et culturelles figurent parmi ces centaines d’universitaires en différents domaines qui exhortent les universitaires à boycotter toute manifestation officielle organisée par les universités et les institutions israéliennes qui se font les complices de l’occupation et de l’apartheid. En particulier, les signataires, ci-dessous, de la lettre demandent aux universitaires de ne pas participer pas au groupe de travail sur l’Asie du Sud dans la Deuxième Guerre mondiale, lequel doit se tenir cet été à l’université hébraïque de Jérusalem. Sont notamment présents dans cette liste d’universitaires et intellectuels : Aijaz Ahmad, Partha Chatterjee, Githa Hariharan, Jasbir Puar, Nivedita Menon, Tithi Bhattacharya, Junaid Rana, et Najaf Haider. Nous nous engageons à ne pas franchir la ligne internationale de piquetage jusqu’à ce que « l’occupation de la Palestine et le blocus de Gaza cessent, l’inégalité raciale infligée aux Palestiniens en Israël prenne fin, et que le Mur de l’apartheid soit démantelé ».