traduction : Traduction J.Ch. pour l’AURDIP

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Al-Haq, PCHR et Al-Mezan condamnent les sanctions américaines et appellent à la solidarité mondiale pour mettre fin au génocide à Gaza et à l’oppression des Palestiniens

Alors que le génocide israélien actuel contre les Palestiniens de Gaza, soutenu par les États-Unis, va entrer dans sa troisième année, les États-Unis (USA), plutôt que de mettre fin à leur complicité avec Israël, ont imposé des sanctions contre Al-Haq, Al Mezan et le Centre Palestinien pour les Droits de l’Homme (PCHR) – principales organisations de défense des droits de l’Homme qui travaillent à la responsabilité pénale intersectionnelle pour les auteurs de crimes atroces en Palestine.

‘La famine est partout’ : Des visites virtuelles de cliniques de Gaza révèlent l’ampleur de l’horreur

Ces dernières semaines, nous avons parlé par vidéo avec des médecins dans l’ensemble de la Bande de Gaza. Grâce à des visites
virtuelles de centres médicaux, nous avons cherché à documenter la situation dans laquelle des milliers d’enfants souffrent de sévère
malnutrition aiguë. Ce que nous avons vu était d’une ampleur catastrophique.

Une base de données de l’armée israélienne suggère qu’au moins 83 % des morts de Gaza étaient des civils

Les renseignements classifiés du mois de mai révèlent qu’Israël pensait qu’il avait tué quelque 8.900 combattants dans ses attaques sur Gaza, indiquant une proportion de massacre de civils sans presque aucun parallèle dans l’histoire moderne de la guerre, c’est ce que révèle une enquête conjointe.

Mémoire de l’Holocauste et « Combattre l’Antisémitisme » en Période de Génocide

Mercredi 10 septembre 2025 – à 19 H. heure de Palestine (par Zoom), le professeur Amos Goldberg (Université Hébraïque de Jérusalem) parlera de la Mémoire de l’Holocauste et « Combattre l’Antisémitisme » en Période de Génocide. Il traitera de la façon dont Israël, les États-Unis et l’Allemagne mobilisent la mémoire de l’Holocauste tandis que ces mêmes États sont profondément impliqués dans le génocide à Gaza. [Inscrivez vous ici].

Une faim qui défait les mots

Je ne me suis jamais mis à écrire en tant qu’écrivain. Mon intention n’a jamais été de me définir par une profession ou une identité littéraire. J’ai écrit simplement parce que l’écriture était l’air nécessaire à ma vie. C’était un moyen de façonner ma journée, d’organiser les émotions qui me submergeaient, de faire émerger un espace éphémère de calme au sein d’un chaos infini. Écrire n’était pas une fenêtre sur le monde – c’était une fenêtre sur moi. Et quand j‘ai acquis les mots, j’ai eu l’impression que j’avais trouvé un ami sur cette inhumaine planète : quelqu’un qui écoutait sans fuir, qui donnait l’impression qu’on pouvait momentanément échapper au monde.