Ce n’est pas une hypothèse : le boycott contre la science israélienne se répand « comme un virus »
Les réactions négatives suscitées par la guerre à Gaza s’amplifient et alimentent des boycotts tacites ou explicites de la recherche scientifique israélienne. Les financements se tarissent, les courriels ne reçoivent pas de réponse, des collaborations naguère régulières se détricotent. « La seule façon de faire face au boycott, c’est d’arrêter la guerre… et les actes terribles que nous avons perpétrés à Gaza »