Source : Mediapart

145 médecins de Gaza lancent un cri d’alerte au monde

« Nous, chirurgiens et médecins de Gaza, écrivons au nom de nos collègues tombés, de nos familles décimées et de nos patients que nous ne parvenons plus à sauver. Nos voix tremblent de fatigue et de douleur, mais nous ne pouvons plus nous taire : À Gaza, même les chirurgiens meurent. » Cette tribune est portée par 145 médecins palestiniens de Gaza, avec le porte-voix de « Dignité International ».

Appel pour la libération immédiate des équipages de la « Global Sumud Flottilla »

L’AURDIP s’associe à l’appel lancé par de nombreuses organisations et parlementaires, suite à la nouvelle attaque subie le 1er octobre par la « Global Sumud Flotilla » de la part de l’armée israélienne. Des membres de l’équipage ont été arrêté·es en eaux internationales. Nous appelons le président de la République à agir immédiatement pour obtenir la libération des personnes détenues et garantir la sécurité de l’ensemble des flottilles : « le droit international et le droit de la mer sont sans ambiguïté ».

Monsieur le président, laissez-nous accueillir nos confrères et consoeurs palestinien·nes de Gaza

Depuis plus d’un mois, toutes les évacuations de Palestiniens de Gaza, sans exception, sont suspendues par les autorités françaises. Plus de 400 journalistes français et francophones réaffirment leur solidarité avec leurs confrères et consoeurs palestinien.nes qui, jour après jour, documentent la destruction de la société palestinienne de Gaza. 

Classical Music For Palestine

Dans une prise de position rare, plus de 300 musiciens et musiciennes français·es et internationaux condamnent « le soutien des puissances occidentales à la politique génocidaire de l’État d’Israël, qui bafoue le droit international et ses instances en toute impunité ». Ils appellent le milieu de la musique que l’on nomme « classique » à clarifier ses positions au sujet du génocide en cours à Gaza.

« À Gaza, nos vies sont en danger à chaque instant » : lettre à Jean-Noël Barrot

« Aujourd’hui, nos vies et celles de nos familles restent sous la menace constante et dans un danger extrême ». Des familles d’universitaires et artistes de Gaza ville, bénéficiaires du programme Pause, attendent d’être évacués depuis trois mois. Ils ont envoyé une lettre à Jean-Noël Barrot, restée sans réponse. Ils décident de la diffuser.