Source : L’Association France Palestine Solidarité (AFPS)

Non à l’apologie de crimes de guerre le 12 octobre au Zénith

Le chanteur du groupe Disturbed, David Draiman, s’est illustré à de nombreuses reprises par des actes et des déclarations indignes. En juin 2024, il s’est affiché sur une base militaire israélienne, signant un obus destiné à la population de Gaza. Qui plus est, son soutien répété à la politique de Benjamin Netanyahu confine à un discours de haine et contribue à l’apologie de crimes de guerre et de génocide.

Suspension arbitraire des évacuations de Gaza : contestation devant le Conseil d’État

Alors que plusieurs journalistes, artistes, universitaires, étudiant·e·s et familles de réfugié·e·s s’apprêtaient à quitter l’enfer de la Bande de Gaza pour rejoindre la France, le ministre Jean-Noël Barrot a, le 1er août 2025, en plein cœur de l’été, brutalement suspendu toute opération d’évacuation de l’enclave et procédé à l’annulation immédiate des départs qui étaient prévus dans les jours suivants.

Commerce avec les colonies illégales : Comment les États et entreprises étrangères permettent à Israël de mettre en œuvre sa politique de colonisation illégale

Nous nous unissons aux appels adressés à l’Union européenne, au Royaume-Uni et à la communauté internationale au sens large visant à mettre en œuvre des lois qui interdisent toute forme de commerce, y compris les investissements et la fourniture de services aux entreprises qui sont implantées ou opèrent dans les colonies israéliennes illégales en Cisjordanie, notamment à Jérusalem-Est et dans le plateau du Golan.

Non à la dissolution d’Urgence Palestine

Nous apprenons que l’État français sur proposition du ministre de l’intérieur Bruno Retailleau veut prononcer la dissolution de l’organisation « Urgence Palestine », une des associations actives du mouvement de solidarité avec le peuple palestinien. L’AFPS dénonce avec fermeté et indignation cette décision inspirée par certains députés du Rassemblement national et les soutiens inconditionnels du gouvernement israélien. Elle porte atteinte à la liberté d’expression et d’association dans notre pays. Elle est extrêmement grave de conséquences pour nos libertés individuelles et collectives.

Plus de 250 parlementaires de 17 pays de l’Union européenne appellent à la suspension de l’accord d’association UE-Israël

Plus de 250 parlementaires de 17 pays de l’UE appellent à la suspension de l’accord d’association UE-Israël, citant les violations par Israël de l’article 2, la clause dite des « droits humains » du traité. La France et ses parlementaires ont joué un rôle moteur dans l’aboutissement de cette lettre, en réunissant 99 signataires issu.es de 9 groupes parlementaires, au Sénat, à l’Assemblée Nationale et au Parlement Européen.