Source : BACBI

Belgian Campgaign for an Academic and Cultural Boycott of Israel ([BACBI->http://www.bacbi.be/Home.htm])

« Combattant de la résistance » versus « Terroriste » Lettre ouverte à Alexander De Croo, Ministre belge de la Coopération au développement

Herman De Ley, professeur émérite à l’Université de Gand au Vice-Premier ministre belge, Alexander De Croo : « Cher Monsieur De Croo, en tant que ministre à la Coopération au développement, vous avez décidé « de ne plus collaborer avec le ministère palestinien de l’Enseignement », parce que que « des écoles palestiniennes sont baptisées de noms de terroristes palestiniens » (DS). En toute honnêteté et avec la meilleure volonté du monde, je ne puis éprouver la moindre compréhension envers une politique de ce genre. S’il suffit qu’un peuple autochtone poursuivi depuis plus de 70 ans (et assailli constamment par l’occupant sur le plan militaire) donne à certaines de ses écoles le nom d’un héros ou d’une héroïne de la résistance, que doit-il alors se passer après le bain de sang hebdomadaire versé dans la bande de Gaza pour que le gouvernement belge cesse également de collaborer avec ce gouvernement israélien tant que celui-ci s’obstinera à violer le droit international et les droits fondamentaux des Palestiniens ?

Trouvez ci-dessous l’entièreté de la lettre ouverte :

La KU Leuven impliquée dans un projet avec la police israélienne. Lettre ouverte au recteur Torfs

Le comité de direction de BACBI (Boycott académique et culturel belge d’Israël) demande respectueusement au recteur de l’Université de Louvain (Leuven) de mettre d’urgence un terme à la participation de l’université dans des recherches dirigées non seulement par une université israélienne, mais impliquant également la police israélienne. Ces recherches concernent la « fluidité des interrogatoires ». Vous lisez bien : l’Europe doit apprendre chez les Israéliens comment s’y prendre pour mener à bien un interrogatoire. Et l’Université de Louvain (Leuven) y collabore.